jpblandine la rénovation de notre grange
Un peu d'humour
Un petit coin de détente
Allez après avoir si durement fait travailler nos méninges, accordons nous une petite page d'humour.
Comme tout marseillais qui se respecte commençons par un extrait d'une description d'une stars marseillaise tirée du site : Emilien le journal.
Le Cake & la Cagole
Il y a trois catégories de femmes à Marseille : les pimbêches, les cagoles et les authentiques, celles que les premières méprisent et que les secondes estiment transparentes. On pourrait même les qualifier de lambdas. Le mot clé de la phrase étant « pourraient » car il est indéniable que les cagoles ignorent l’existence et la signification du mot lambda. Parangon de l’ignorance et de la féminité marseillaise, les cagoles sont en effet une race à part. Êtres hybrides hauts en couleur à mi-chemin entre Eve Angeli, Lââm et Pamela Anderson. Comprenez que la Cagole est très distinguée ! Voici l’histoire d’une d’entre elles.
La reine de la rue
Il est une Marseillaise égocentrique et excentrique qui répond au doux nom de la Cagole. Pass(ionn)ée de mode, la jeune femme se fait toujours une joie de retrouver ses clones, les autres cagoles, au pied de l’escalator du centre Bourse [1]. Telle une valkyrie entourée des siennes, elle se lance alors dans une chasse sans merci. La chasse du mini top rose qui lui vaudra de se démarquer de ses congénères. Pour ce faire, cette créature de la mythologie marseillaise fouille consciencieusement chaque recoin du centre commercial. Et une fois ce dernier passé au crible, la Cagole assure la transhumance du troupeau vers la rue Saint-Fé.
La jeune femme n’y passe jamais inaperçue. Perchée du haut de ses plates-formes shoes tout droit sorties d’un film sans saveur des Spice girls, elle marche d’un pas lourd, s’agite à tout va et hurle. Car la Cagole n’a pas idée de la façon dont est supposé s’exprimer tout être humain normalement constitué. Elle ne parle pas. Elle piaille dans une langue qui lui est propre, un mélange exquis de provençal et d’argot, le tout d’un accent très marqué. Au hasard des mots qu’elle prononce, on distingue nettement l’énorme chewing-gum rose qu’elle mâche inlassablement. Ses lèvres pulpeuses dessinées au crayon noir sont toujours bardées de gloss qu’elle se sera probablement procurée sous forme d’échantillon. À moins que cet aspect gras et brillant ne soit le résultat d’une sucette fraîchement consommée. Il n’empêche la Cagole recèle de mystères. Elle est aussi mystérieuse que l’énigme du Sphinx. Je vous l’accorde la comparaison est un peu forte, mais je n’ai pas d’autre image marquante en tête.
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Expériences scientifiques:
Trois souris blanches de laboratoire discutent de leurs expériences scientifiques respectives:
Moi, dit la première, j'ai dans ma cage un tambour relié à une dynamo qui, elle même alimente une ampoule. Eh bien, je viens d'établir que l'intensité lumineuse est proportionnelle à la vitesse de ma course dans le tambour.
Cool, dit la deuxième, mais je viens de mettre au point un algorithme infaillible pour sortir de n'importe quel labyrinthe.
Super, dit la troisième, mais vous oubliez l'aspect psychologique: je travaille, moi, sur la théorie des réflexes conditionnés. J'ai dans ma cage une petite cloche. Eh bien, chaque fois que je tire la cloche, mon chercheur me donne à manger!
